07 août 2006

I love it here on the farm!

Puisque la vie n'est qu'une longue (espérons-le) période de tests et de torture, je contemple la possibilité de ne pas boire d'alcool du tout pendant... un bout de temps. Il faut s'entendre, je n'en bois déjà presque pas. Même une bière par semaine, c'est rare. Mais... MAIS, des fois quand j'en bois je vais trop loin et inévitablement, je suis malade. Quand je ne me rends pas jusque là, il y a quand même la forte possibilité que je souffre de brûlements d'estomac. OK, depuis que je prends ma pilule quotidienne, je m'en tiens à 1 ou 2 bière(s) max par fois... c'est mieux pour mon cerveau, mon foie et, anyway, je saoule désormais en 2 secondes. N'empêche. Par défi personnel, je deviendrai temporairement une born-again straight-edge second-virginity freak. Donnez généreusement.

Ailleurs dans le monde (sur cyberpresse) :

Un bar de l'Est de la Chine offre depuis peu à ses clients un exutoire à leur colère en les autorisant à utiliser les serveurs comme «punching ball», a indiqué un journal chinois de lundi.

Hmm. Excellente idée.

Dans ce café de Nankin, qui répond au nom de «Le soleil se lève sur une colère apaisée», la clientèle peut, contre paiement, frapper les employés, briser leurs lunettes, pousser des cris, des hurlements, précise le quotidien China Daily.

Huh huh.

Ils peuvent également choisir la tenue vestimentaire des serveurs, y compris leur demander de se vêtir en femme.

Huh huh... huh?

Pour libérer sa colère, il faut débourser de 50 à 300 yuans (environ 6$ à 37$) selon les demandes.

Les 20 jeunes hommes que le bar emploie pour ces prestations sont âgés de 20 à 30 ans et ont un physique bien charpenté.

Des mussss'! Wheee!

Ayant accepté d'être brutalisés, ils reçoivent des entraînements physiques pour se préparer aux attaques de la clientèle et revêtent des protections pendant leur service.

Job de rêve, finalement.

C'est en s'inspirant d'activités similaires dans des bars au Japon, que Wu Gong, le propriétaire, âgé de 29 ans, a ouvert ce bar en avril dernier.

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