08 août 2007

Mêêê mêêê mouton noir...

J'ai arrêté de travailler pour un bon gros chunk de mon congé parental... La raison principale : il n'y a pas de place dans mon cerveau présentement pour penser au bureau ni pour stresser sur des tâches qui me passent 6000 lieues sous les mers. Eh non. Je prends un break. Je vais recommencer le télétravail plus tard. Mais là, ouach.

Bébé Poumier va bien. Il s'adapte à la routine du Château des Eaux-Claires et quand la vague diabolique de la douleur dentinaire s'échoue, le ciel est vert et la terre est bleue. Disons que je m'attendais à un rôle de maman plus essoufflant. Praise the Lord.

Autrement, la vie de femme à la maison bat son plein. Demain on reçoit J & L, vendredi c'est le tour des Pokerettes et samedi, Simon et Jeff viennent faire leur tour. Présentement, ça fait du bien de sortir, mais en même temps c'est plus facile de profiter de la soirée au grand complet quand Chucky a son lit à proximité. Éventuellement, on va sortir sans bébé de façon régulière, pour souffler et jouir des plaisirs comme le mini-putt adulte, le cinéma et les restos autres que Normandin et St-Hubert. Un jour, un jour... On a des amies qui n'ont pas encore fait garder leur petit pour aller prendre l'air. Vraiment, je ne suis pas affligée de ce don maternel à ce point.

D'ailleurs, eh bien heureusement, bien que mon statut m'oblige à beaucoup parler de parentalité et de la beauté infinie d'être mère (à ce qu'on dit), je ne me sens pas plus mère que travailleuse blasée, femme adorée de Boobie et propriétaire de Pou-le-Pug. Je n'ai pas changé. Je ne suis pas transformée. Je ne me sens pas investie d'une mission éducationnelle/spirituelle pour mon innnfiint. Je continue de trouver la Secte des Mères infiniment quétaine. À suivre...

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