03 avril 2006

Funiculi Funiculaire

En fin de semaine, on avançait l'heure. Argh. Bref, je me suis levée à 4h ce matin, selon l'ancienne heure. Je ne m'en plaindrai plus jamais, mais je dois le dire au moins une fois : c'est chiant de se lever en plein milieu de la nuit. C'est chiant de se coucher plus tôt. C'est anti-m-chue. Je veux faire une sieste. Fin.

La semaine s'annonce pour être mouvementée, avec les stagiaires qui s'installent, le nouveau mobilier de bureau qui va être mis en place, et, plus travaillement, les changements à faire dans divers documents. C'est le printemps et, au printemps, il faut toujours qu'il y ait un certain renouveau engendré par un brouhaha et un bee-bop-beedee-bop. Je le sens bien dans mes narines en ce moment. Je sens aussi des toasts brûlées. Épilepsie à venir sous peu.

Est-ce que j'ai dit que j'étais fatiguée ?...
Brûlée?
Comme une toast.
Je le suis - vraiment.

En fin de semaine, on a un peu joué à Zèrtz et j'ai été très poche. Il faut que je développe une certaine stratégie. Parce que, ce que j'utilise présentement (pas là, là), on ne peut pas appeler ça une stratégie. Si on l'appelle comme ça, il faut spécifier que c'est une stratégie médiocre. Un jour je gagnerai avec 4 boules blanches et ça sera même exécuté subtilement ! Comme dans toute bonne chose de la vie, ça prend de la pratique sans la moindre vergogne aucune. Je vaincrai, Boobie!

Ce matin, j'ai crû pendant un instant que Eugene Levy s'était rasé la moustache, mais c'était une illusion d'optique causée par un jeu d'ombres et de lumières. Il y avait 2 ombres et 3 lumières. Je pense qu'Eugene lisait le Châtelaine.

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