06 mars 2006

Gnuh gnuh et gnah gnah

J'ai encore la maladie de la fatigue immense du patchou. J'ai encore ce fameux nuage de ouate pogné dans le cerveau. J'ai peur de faire des erreurs dans mon travail, c'est à ce point-là. Tantôt j'ai essayé d'ouvrir un tiroir qui n'existait pas. C'est préférable que ça ne paraisse pas trop, ces choses-là...

Je me suis fait un autre pot de café. Ça devrait me tenir au moins à moitié éveillée jusqu'à 16h30. Après ça, on verra. J'aimerais bien qu'il n'y ait jamais de journées comme ça qui sont un combat de chaque seconde. Mon côté philosophique me dit d'écrire que sans ces journées d'épuisement de merde, les instants de bonheur ne seraient pas si divins. Mon côté philosophique peut bien aller chier.

Cela dit, ça va quand même bien. Il faut que j'apprenne à accepter le pouvoir des hormones et ma petitesse à côté d'elles. Mon acceptation devrait survenir proche de la ménopause.

Vive Malajube!

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